Il y a quelques jours, un lecteur me faisait remarquer l’absence de billets sur ce blog. Il se demandait si mes petites parutions antérieures n’étaient que lubie mourante faute de lectorat, tels les missiles soviets hissés du sol cubain n’ayant jamais quitté leurs rampes de lancement.
« Que nenni », affirmai-je avec vigueur ! « C’est que le temps manque, que les idées s’amoncellent au fil de l’avancement des projets » ! J’ai même failli lui dire « C’est toi qui te tapes le boulot, Rigolo ? » Parce que lire, c’est facile.
Oui, M’sieurs-Dames, lire c’est facile ; même un Saint Val… Bon, OK. Je ne suis pas occupé de dire que le premier tome des aventures de Saint Val (BrabanCIA) est d’un déchiffrage des plus évidents, ni même qu’une paire de crampons littéraires ne sont pas nécessaires pour prendre d’assaut le piton de cette fabuleuse histoire !
Non, je ne dis pas ça. Mais avec la suite de BrabanCIA en cours d’écriture, la sortie de la deuxième édition du premier tome (voir billet précédent sur ce blog) et la finalisation du roman La Barza (voir billet), il y a comme qui dirait du bricheton sur la planche.
D’ailleurs, on parlant de grailler du bricheton, je m’en vais continuer à écrire. Parce que si lire est facile…
Saint Val,