Pour ceux qui suivent, pour les attentifs du bulbe et les « followers », j’en ai une bien bonne pour vous. Ca se corse pour l’ASPIC en 2012 avec le nouveau Président.
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Tout était prêt pour amorcer le service caché de l’Aspic. Serpentes-le-jeune, Oscar, allait accouder officiellement l’ASPIC à la DGSE comme l’avait ordonné le Président. Grand-Papa, Serpentes-le-Vieux, allait donner le change à tout ce que comptait l’Aspic comme ennemis, y compris ceux de l’intérieur comme le Président lui-même. GP revenait aux affaires. Et c’était encore une fois pour diriger un service dans le service. Tout comme il l’avait fait avec le SDECE dans les années 60 à 80, au sein duquel il avait orchestré des services encore plus secrets que les services secrets eux-mêmes. Il avait toujours pensé qu’il y avait une certaine ironie à utiliser le principe des poupées russes pour battre Popov à plate couture. Cette fois-ci, il aurait à éviter le pire, à préparer une équipe capable de repousser un envahisseur encore inconnu à cette heure mais dont le premier homme de France était, contre toute attente, un sbire.
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Extrait du premier chapitre (dont le titre est PLAT PAYS, MORNE PLAINE ET FRICANDELLES)