Des questions, encore des questions et toujours des questions …
On me demande souvent ce que j’écris. On me demande souvent ce qu’est un roman à clef. On me demande toujours « de quoi parle » BrabanCIA. Alors, pour démystifier et tenter d’éclairer vos lanternes, tout en vous évitant d’avoir à me poser les questions décrites ci-avant, me voilà lancé dans le difficile exercice du « pitch » et du « et après ».
J’ai bien réfléchi à plusieurs manières de vous parler de BrabanCIA. Même si l’acheter est encore le meilleur moyen de répondre à vos questions, et surtout de me laisser le temps de vous écrire d’autres merveilles (je ne vais quand même pas dire que j’écris du jus de pisse)… quoique.
Alors les radasses, les fainéants, les fauchés, les voleurs du web, les éditeurs en recherche de talents talentueux (cela va sans dire), et les autres indécis de cocagne et du Cher, voici enfin la démystification complète sur BrabanCIA qui vous permettra, sinon d’amoindrir vos travers voire de déménager, au mieux d’opter pour l’une des autres raisons de ne pas encore avoir acheté ce superbe roman à clef.
Genre…
Au commencement, étaient les filles et les garçons. Aux environs des années 60, un illustre méconnu créa le genre « roman à clef » pour que tous les couillons ayant envie d’en lâcher sur ce qu’ils savent, puissent se répandre en vérités (parfois historiques parfois contemporaines) tout en changeant l’histoire, les noms des protagonistes et quelques unes de leurs qualités. Puis le genre a changé, mué je dirais même. Et Saint Val créa, courant 2013, un sous-genre expéditif. L’Espiolar, qui n’est autre que le roman à clef d’espionnage à la sauce polar.
Donc en mode morse : roman – vrais trucs – travestis (pas les gens) – action – argot – phrasé outrancièrement « limite » – un peu de cul ! Bref c’est l’heure (traduit directement de l’anglais Bestseller).
Mais l’histoire dans tout ça ?
Mais cher Ami, que je me suis dis, vous voulez dire « les histoires » ! Et moi de répondre. Off Corse, ce sont les vacances. Donc l’affaire première se passe en 2012. On est dans le bureau du Premier Homme de France, notre regretté … enfin bref, celui qui quitta en 2012 ! Il reçoit un certain Serpentes qui n’est autre que le patron d’une agence très spéciale, l’ASPIC (pour savoir ce qu’est l’ASPIC, merci d’acheter le roman en broché ou en numérique).
Ca cogne un peu au Luxembourg et le Président de notre belle République demande à Serpentes d’envoyer sa meilleure vipère (entendez-ici espion) pour résoudre le chantage qui se trame contre les plus hautes instances du petit paradis fiscal, la mer bleue et les mouettes en moins.
Bien entendu, la vipère en chef choisit le meilleur de ses agents pour partir à l’assaut des rococo luxos. Et cette efficace vipère contre laquelle il n’existe d’autre antidote que ma plume (comprenez que je suis totalement l’auteur, le héros imaginaire, le narrateur, l’éditeur mais aussi et sans doute celui qui a utilisé le plus Saint Val comme nom de couverture dans ses anciennes activités), va foutre un bordel monstre en découvrant durant cette routinière expédition d’étranges secrets datant des années 80 et qui concernent cette prude, nécessaire et campagnarde institution, j’ai nommé l’OTAN car l’OTAN en emporte la rose des vents.
Durant tout le roman, les scènes actuelles et les scènes des années 80 se chevauchent, avec la particularité que le passé est écrit au présent et que le présent est à la forme passée. Malin non ?
Le vrai sujet de fond…
Parce que oui, Monsieur ! Il y a un sujet de fond. Mais il va falloir le trouver, et pour le trouver, va falloir casquer ! Mais casquer pas trop cher : 7,77 pour le numérique et 20 pour le broché. Mais attention, pour le broché, y a facilement possibilité de se voir se faire carrer un autographe pour peau de balle, nada, que tchi !
Pour vous procurer BrabanCIA, c’est par ici.
Saint Val,