Chers Amis,
Tout d’abord, je tiens à vous remercier de lire ce billet. Si vous le faites jusqu’au bout, c’est qu’il y a de grandes chances que vous me suiviez depuis un petit temps maintenant.
Je m’adresse à vous non pas pour me plaindre et faire pleurnicher dans les chaumières ! Non, pour chialer il y suffit de regarder RTL-TVI (pour les Belges) ou TF1 (pour les Français et frontaliers) ; larmes garanties !
Comme vous les savez, les deux tomes de BrabanCIA sont parus aux Éditions de l’Aspic qui est en fait une petite structure que j’ai créée pour pouvoir éditer mes écrits. Pour moi, le choix de l’auto-édition s’est fait naturellement. D’abord par facilité mais surtout pour continuer à écrire en toute liberté intellectuelle sans me brimer et sans voir débarquer dans ma vie un freluquet « made in HEC » me dictant ce qui correspond le mieux ou pas à ce champ de courses qu’est le monde de l’édition !
Et je ne parle pas de la liberté de ton que je peux prendre avec mes petites promotions publicitaires, mes détours et autres « machiavéleries » (tout juste inventé pour vous) qui me passent par la tête.
Si vous êtes déjà nombreux à avoir acheté, le tome 1 de BrabanCIA et les précommandes du tome 2 annoncent quelques réjouissances, la partie n’est pas gagnée pour autant. En effet, Saint Val manque encore de visibilité pour avoir accès aux médias notamment. Et cette visibilité n’est envisageable qu’avec trois moyens : de la durée, du cash ou du tapage. Il y a bien aussi la recette qui consiste à prendre un journaliste en otage, mais c’est d’un banal, du déjà fait et plutôt une marque de fabrique qui ne me correspond pas.
Bon, les gens ! Partagez en masse mes publications, likez et surtout parlez-en autour de vous. Cela vous coûtera un peu de salive et quelques clics mais en retour vous continuerez à pouvoir me lire.
VOUS êtes l’avenir de mes romans.
Merci,