Avant le lancement de la nouvelle édition « papier » du tome 1 de BrabanCIA, je vous propose un joli petit cadeau : l’ebook du tome 1 à seulement 2,99 € !
Pour même pas le prix d’un bon vieux paquet de Gauldo, ou à peine le prix d’un café en terrasse à Paris ou encore un mois de forfait mobile, vous vous payez le roman des Tueries du Brabant wallon !
Alors, limitez votre forfait mobile pour vous offrir les forfaits de criminels ayant opéré dans les années 80. Rembarrez cet inutile jus de pisse à fond sablonneux que ce serveur vous faisant la tronche vient de vous déposer sur la table bancale. Vendez la moitié d’un paquet bleu à noir à votre vieille voisine pour lui rappeler sa jeunesse, au temps où elle batifolait dans les blés avec son bon vieux Lucien !
Foncez sur la marchandise mes gens ! C’est du numérique, y’en aura donc pour tout le monde. Et c’est valable durant tout le mois d’avril !
Saint Val,
définitive.
Guerre froide 2.0 se pointe à l’horizon. Et que dire du cinglé coréen et de Trump-va-t-en-guerre !
On me demande souvent ce que j’écris. On me demande souvent ce qu’est un roman à clef. On me demande toujours « de quoi parle » BrabanCIA. Alors, pour démystifier et tenter d’éclairer vos lanternes, tout en vous évitant d’avoir à me poser les questions décrites ci-avant, me voilà lancé dans le difficile exercice du « pitch » et du « et après ».
En septembre 2018 est prévue la sortie de Guayota, le troisième opus des aventures de Saint Val. A ce stade, la charpente du roman est terminée, les personnages et leurs caractéristiques dans la boîte et le prologue complètement rédigé. L’action se déroule en partie au Levant et dans le Sahara, et le livre vous réserve de vraies surprises. 
Il venait de se réveiller, il avait peu dormi. Après le dîner avec le Sicaire à Bruxelles, il était rentré en lieu sûr, prétextant une aventure féminine au tueur. Le niveau de confiance baissait à nouveau et de plus en plus. Il restait à espérer que Klaus n’en était pas là, lui. Il avait bien entendu feint d’évoquer l’incendie, avait abandonné son véhicule dans la banlieue bruxelloise près d’un quartier résidentiel, s’était assuré de ne pas être équipé d’un traceur, avait laissé le téléphone dans la boîte à gants et appelé un taxi pour rejoindre la Mercedes de secours louée chez Hertz pour le mois. 