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Livre d'or
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20 mars 2018
Superbe espiolar pourtant dieu sais que je ne lis pas... -
Elise / 20 mars 2018
Bonne confirmation de tous les autres commentaires. On ne peut... -
katleen / 19 mars 2018
Merci pour ce bon moment de lecture. amicalement Katleen -
Nico / 12 décembre 2017
Adolecent, j'ai lu les bouquins de Gerard de Villiers. C'est... -
Gouville / 3 novembre 2017
Excellente ballade littéraire. Où s'arrête la réalité et où commence...
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Canossa, me voilà !
Mea Culpa, maxima mea culpa. Je reconnais, j’avoue tel un repenti d’avoir péché par facilité ! M’étant mis à vos genoux, chers Lecteurs, voici donc mes affreux et honteux regrets de vous avoir livré un « produit non fini » (un peu comme ce cher Bill Gates avec ses satanées versions de Microsoft pleine de bugs) !
Publié dans Pour les lecteurs
Commentaires fermés sur Canossa, me voilà !
Oui ou non ?
Durant une intéressante et houleuse discussion, devrais-je dire un débat de fond, un des premiers lecteurs du tome un m’a lancé : « Et tu vas faire quoi avec tous les gens qui n’ont pas lu le premier avant d’acheter le deuxième ? » … Continuer la lecture
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Si Gorby le dit !
Ca y est, repos estival quasi terminé. Comme le matamore remonte sur les planches durant la période des festivals, le conteur d’aventures polardesques que je suis vient d’affuter ses petits Stabilo pour faire mumuse sur les pages du deuxième tome de BrabanCIA. Continuer la lecture
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Le tome 2 : les titres
Ca y est, les titres pour le tome 2 sont enfin choisis et ne devraient plus être modifiés. L’écriture avance vraiment bien ( en sus des autres projets d’écriture à terminer pour fin août).
Votre humble mais non moins conscient serviteur est donc bien fier de vous présenter les titres mais aussi de vous fournir quelques « news » croustillantes sur le tome 2. Continuer la lecture
Publié dans en cours, evolution écriture
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Ma flemme patriotique !
De bonnes constitutions, un chouya motivé en ce samedi matin, et un des deux petits Saint Val qui me presse ! « Vieux, on va être en retard pour le Boulevard du polar ». Sur ce, je me dis que ça fait bien beaucoup de « arrhes » pour un début de week-end, mais qu’il est effectivement temps de se taper après une bonne semaine de taf, une séance de teuf-teuf vers la capitale !
Bref, après une séance de pare-chocs contre pare-chocs, nous voilà arrivés au Salon du Polar 2017 in The european town by excellence ! Je passe les détails déjà amoindri par cette saloperie de parking où l’ascenseur est factice (véridique), nous arrivons dans ce que nous croyons être le temple des amoureux du genre ! Nenni, nenni !
En guise d’autel des tables recouvertes d’offrandes livresques et quelques stylos prêts à mordre la première page blanche (celle qui ne contient pas les mentions légales et autres artifices inutiles pour éviter les copies, photocopies, piratage et toute la Sainte Famille flibustière). Continuer la lecture
Publié dans Non classé, Pour les lecteurs
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De l’actualité pas si actuelle que ça
Mes chers lecteurs, vous connaissez tous mon inconditionnel amour pour le roman à clef, l’espionnage, les affaires policières et surtout les années 80 dont certaines affaires n’ont toujours pas été résolues. Vous le savez bien, dans BrabanCIA je traite notamment des Tueries du Brabant wallon : ces faits divers et d’hivers pour lesquels les inquiétudes criminelles ont été assez rares, on peut le dire.
En pleine rédaction du deuxième tome, je guette le moindre article sur la chose et sur le périmètre élargi mais contextuel du bouquin. J’adore, par exemple, recevoir des alertes Google qui m’avertissant de (pseudo) nouveaux faits. Donc à chaque « bip » je checke — tel un magnat du désert — le sujet de l’alerte, pour souvent me répandre en jérémiade : bouhouhou, encore une alerte qui ne sent pas « l’arrose pas trop, c’est inintéressant ».
Publié dans années 80, Avis, Non classé, Pour les lecteurs
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Interview : Zone Livre
Jérôme PEUGNEZ : Bonjour Alexis de Saint Val. Nous nous rencontrons suite à la sortie de votre premier roman BrabanCIA. Pouvez-vous me décrire en quelques mots votre parcours ?
Alexis DE SAINT VAL : Je suis toujours actif dans le domaine de la sécurité des entreprises, notamment la protection contre les actes malveillants, l’espionnage industriel et le vol de données sensibles.
J’ai travaillé comme consultant expert durant quelques années auprès de grands groupes et d’institutions publiques. Cette carrière m’a permis de devenir curieux, de comprendre certains mécanismes dans la lutte pour la sécurité publique et industrielle. Elle m’a aussi un important réseau de contacts dans différents domaines : police, service, journalisme d’investigations…
Publié dans interview
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Le concours de l’été !
Gagnez* une liseuse Amazon Kindle Voyage d’une valeur de 189 € en participant au concours BrabanCIA, roman d’espionnage.
Il vous suffit pour cela de commander votre exemplaire broché (20 €, frais de port offerts) avant le 30 juin 2017.
L’histoire
« Lorsque les Présidents de la République se passent le flambeau, deux secrets sont échangés : les codes nucléaires et l’identité de Serpentes, l’homme de l’ombre.
Novembre 2011, Serpentes est appelé en urgence. Un chantage, visant les plus hautes instances politiques et économiques se trame au Grand-Duché de Luxembourg.
D’anciennes histoires refont surface et entraînent Saint Val dans les aspects méconnus de la guerre froide. Des Tueries du Brabant Wallon à la fausse agence de presse Aginter, une nouvelle réalité se dessine !
Et si, profitant de la chute du mur de Berlin, les réseaux « stay behind » de l’OTAN n’avaient pas été démantelés ? Et si les « gladios » s’étaient convertis au renseignement privé ? Les agents dormants n’ont peut-être dormi que d’un oeil ? »
Comment gagner ?
Envoyez un email concours@saint-val.com pour commander votre exemplaire (paiement électronique & Paypal). Vous recevrez votre exemplaire dédicacé ainsi qu’un numéro de série pour le tirage au sort qui aura lieu le 30 juin à minuit, le gagnant remportera alors la liseuse avec un exemplaire numérique du roman.
Caractéristiques de la liseuse
- Écran 300 ppp haute résolution : se lit comme sur une véritable page papier
- PagePress vous permet de changer de page sans lever le petit doigt
- Première liseuse dotée d’un éclairage frontal qui s’ajuste automatiquement : bénéficiez d’une luminosité idéale, de jour comme de nuit
- Une seule charge de batterie dure des semaines, et non pas des heures
- Avec l’Abonnement Kindle, lisez autant que vous voulez parmi une sélection de plus d’un million de titres, dont plus de 25 000 en français
Bonne chance à tous et surtout au gagnant !
Saint Val,
* tirage au sort le 30 mai – minimum participations 20 jeux – sous réserve de stock disponible / ou équivalent
Publié dans Avis, en cours, Pour les lecteurs, Promotion
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Une promesse à tenir !
Il y quelques années, dans les tréfonds d’une fin de repas familial, repu et encastré dans un fauteuil en cuir, je me retrouvai face à celui qui me donna l’envie d’écrire. Nous parlions de l’avenir, comme à chaque fois. Un avenir que je voyais radieux — mon sens éternel de l’optimisme faisant —, un avenir qu’il voyait incertain — son sens de l’inquiétude quand il s’agissait de moi. Il est vrai qu’il avait de quoi être inquiet !
Oh, je dois bien avouer que j’ai quelque responsabilité dans cette inquiétude chronique.
- Mais que vas-tu faire plus tard ? Qu’est-ce qu’on va faire de toi ?
- Je ne sais pas ! Écrivain. Oui, c’est ça. Je vais faire fortune et devenir écrivain.
On est con à dix-neuf ans ! Puis, seuls dans ce salon alors que les autres discutaient dans la cuisine éloignée autour d’un verre, il a sorti du bar un vieux malt, un simple, aussi simple et évident que l’était son amour pour moi. Nous avons trinqué. Toutefois, passage obligé par la case promesse : « Un jour tu écriras, sur moi. Sur ma Guerre, sur mon Congo.»
Le temps est venu ! L’écriture s’achève, petit à petit ! C’est encore une fois le principe du roman à clef — comme BrabanCIA que tu aurais aimé ! Mais cette fois-ci, c’est l’histoire de celui par qui l’envie est venue ! Le maître des mots de mon enfance, qui ne fut jamais publié, navrant !
Ta Guerre et ton Congo y ont une bonne place ! Les histoires narrées, je les ai romancées, un peu. Pour le titre, il m’a été soufflé : « La Barza », nom donné aux terrasses où l’on reçoit les invités au Congo, et accessoirement le nom du Parlement de Bukavu — l’ancienne Costermansville.
Saint Val,
Publié dans en cours, Promotion, sujet
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Quand Saint Val fâché, lui toujours gueuler !
Je suis fâché et ce n’est rien de le dire. Hier après-midi (ce 29 mai) alors que j’allais encore publier une énième « fausse propagande », histoire de vendre quelques centaines d’exemplaires de plus, un message m’avertit que mon compte Facebook n’est plus disponible !
Je tente à nouveau de me connecter : rejet. Encore une nouvelle fois : rejet à nouveau. En chipotant un peu au sein de cette superbe littérature inventée par des ingénieurs ayant à mon avis loupé de très très le loin le bac blanc, je trouve enfin une explication ! Ou plutôt deux. La première, comme je vous le disais, issue des alphabètes du code qui me lancent dans un anglais approximatif (putain, même pas capables d’écorcher du Stendhal, faut qu’ils maltraitent tonton William et son Toby, l’hors note Toby), que mon identité n’est pas bonne. La seconde, issue d’un forum où je comprends avoir été dénoncé ! Ça me rappelle les heures glorieuses des collabos qui oeuvrèrent surtout entre 1941 et 1944. Me voilà un anti-goy littéraire ! Foutre, qu’ils « heil » se faire.
Bon. Je me calme. Je disais : mon identité pose un problème ! Et oui, mon n’veu. Saint Val, c’est à la fois le héros, le narrateur et le nom de plume mais que j’ai choisi. J’ai même poussé le vice jusqu’à aller voir un officier civil en la personne de mon ami Me Pierre M., huissier de justice de son état pour valider que derrière Alexis de Saint Val, il y a un bien Alexandre L., qui préfère laisser la place à un marketing certes douteux mais fulgurant pour vendre ses petits écrits et, comment dire, créer un produit littéraire marketing non identifié !
Promis, Marc Zuckerberg, je ne le ferai plus. Et non, je n’écrirai rien d’insultant à l’encontre de votre entreprise, lieu de communication Ô combien vénérable. Et non, je ne ferai aucun jeu de mots débiles à la mode « Saint Val », me demandant si la traduction de votre nom relate plus de la colline hydratée de carbone, ou d’une éventuelle pratique buccale tellement importante qu’elle permet d’en avaler des montagnes !
Cela étant posé, je me demande quand même quel est l’intérêt de telles pratiques ! Vous pourriez me dire qu’il est normal de flinguer des comptes personnels utilisés à des fins commerciales, et moi de vous répondre : bordel, avec ce que je dépense en pub (…) ça me fait penser au chinois qui doit payer la balle avec laquelle on l’exécute ; voire me faire penser que les collabos et bourreaux d’hier n’avaient jamais songé à présenter une facture de gaz aux éradiqués du Livre.
Je crise, je gueule, je conchie les cons… mais avec tout ça, je ne vais pas vous faire perdre plus de temps, et encore moins à moi, car je dois trouver un nouveau moyen de pouvoir discuter « en live » avec mes lecteurs autrement que via une « fan page ».
A bientôt,
Saint Val,
Publié dans Avis, Pour les lecteurs
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